Voici donc un peu plus d’un mois que j’ai posé le pied sur le sol Canadien, les parents on regagnés la France, le temps paraît donc venu de faire le point sur ces 31 derniers jours.
Après un trajet relativement sans histoire jusqu’à Winnipeg, ont commencés les première difficultés avec l’immigration. Détenteur d’un permis de travail, les services de l’immigration refusent de m’accorder l’autorisation d’étudier, chose plutôt gênante étant donné le but de mon expatriation.
A l’heure actuelle, j’attends toujours la délivrance du permis d’étude demandé dès le lendemain de mon arrivée.
L’incertitude engendrée par la non-obtention de ce permis nous a contraints, mes parents et moi, à n’engager aucune démarche décisive avant le dernier moment. C’est donc dans l’urgence des derniers jours que la voiture fut achetée, et le logement trouvé.
Parlons-en du logement…
Je n’y ai passé qu’une nuit, mon jugement n’est donc pas objectif. Après avoir perdu une possibilité de logement en ville, l’école a pu me fournir une chambre au sein de leurs installations. Il s’agit d’une chambre aux dimensions respectables, avec lit, bureau, commode et penderie. La vue sur le parc avion est assez plaisante et l’environnement aéroportuaire est agréable. Ce qui l’est moins, ce sont les autres occupants. Dans un bâtiment de 6 chambres, je partage une cuisine et une salle de bain avec 5 autres élèves, des Indiens (d’Inde bien entendu).
Des Indiens pour le moins bruyants, puisque la première journée fut accompagnée de musiques Indiennes à un volume inconfortable. Puis le soir venu, la musique à fait place aux conversations sans retenues, et pas en anglais, jusqu’à 2h du mat. Ces derniers ont même crut bon de faire la cuisine à 1h du mat. Si l’odeur du curry n’est pas désagréable, je m’en serait bien passé cette nuit.
A l’heure où j’écris, la musique a repris, entrecoupé d’émissions indiennes et de conversations passionnées…
Je m’accorde donc encore 2 semaines dans ces bâtiments avant d’explorer d’autres pistes en ville. L’inconvénient majeur étant l’obligation d’utiliser la voiture chaque jour de cours/vol. Mais serait-ce le coût de la tranquillité ? Enfin on n’en est pas là…
Ma sœur, qui nous a rejoint il y a quelques jours, dort encore une nuit dans l’espace restant de ma chambre, avant son départ pour l’Islande, après quoi je serais tout seul pour de bon.
Les vols reprennent la semaine prochaine, j’en suis à mon troisième vol aux instruments, 5h étant nécessaires à la conversion de mon PPL Français.
Voilà, je ne sais pas trop quoi dire d’autre pour le moment, si ce n’est que j’espère que mes chers Indiens vont un peu calmer le jeu !
Après un trajet relativement sans histoire jusqu’à Winnipeg, ont commencés les première difficultés avec l’immigration. Détenteur d’un permis de travail, les services de l’immigration refusent de m’accorder l’autorisation d’étudier, chose plutôt gênante étant donné le but de mon expatriation.
A l’heure actuelle, j’attends toujours la délivrance du permis d’étude demandé dès le lendemain de mon arrivée.
L’incertitude engendrée par la non-obtention de ce permis nous a contraints, mes parents et moi, à n’engager aucune démarche décisive avant le dernier moment. C’est donc dans l’urgence des derniers jours que la voiture fut achetée, et le logement trouvé.
Parlons-en du logement…
Je n’y ai passé qu’une nuit, mon jugement n’est donc pas objectif. Après avoir perdu une possibilité de logement en ville, l’école a pu me fournir une chambre au sein de leurs installations. Il s’agit d’une chambre aux dimensions respectables, avec lit, bureau, commode et penderie. La vue sur le parc avion est assez plaisante et l’environnement aéroportuaire est agréable. Ce qui l’est moins, ce sont les autres occupants. Dans un bâtiment de 6 chambres, je partage une cuisine et une salle de bain avec 5 autres élèves, des Indiens (d’Inde bien entendu).
Des Indiens pour le moins bruyants, puisque la première journée fut accompagnée de musiques Indiennes à un volume inconfortable. Puis le soir venu, la musique à fait place aux conversations sans retenues, et pas en anglais, jusqu’à 2h du mat. Ces derniers ont même crut bon de faire la cuisine à 1h du mat. Si l’odeur du curry n’est pas désagréable, je m’en serait bien passé cette nuit.
A l’heure où j’écris, la musique a repris, entrecoupé d’émissions indiennes et de conversations passionnées…
Je m’accorde donc encore 2 semaines dans ces bâtiments avant d’explorer d’autres pistes en ville. L’inconvénient majeur étant l’obligation d’utiliser la voiture chaque jour de cours/vol. Mais serait-ce le coût de la tranquillité ? Enfin on n’en est pas là…
Ma sœur, qui nous a rejoint il y a quelques jours, dort encore une nuit dans l’espace restant de ma chambre, avant son départ pour l’Islande, après quoi je serais tout seul pour de bon.
Les vols reprennent la semaine prochaine, j’en suis à mon troisième vol aux instruments, 5h étant nécessaires à la conversion de mon PPL Français.
Voilà, je ne sais pas trop quoi dire d’autre pour le moment, si ce n’est que j’espère que mes chers Indiens vont un peu calmer le jeu !
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